L’Internet des objets (ldO) et l’intelligence artificielle (IA) font désormais partie des stratégies de croissance à la portée des entreprises pour améliorer leurs processus, accroître leur compétitivité et contrer les effets de la pénurie de main-d’œuvre. Les progrès des dernières années sont tels que la question n’est plus de savoir si l’IdO et l’IA conviennent aux besoins de l’industrie, mais plutôt de déterminer comment les entreprises, grandes et petites, l’emploieront au quotidien. 

La transformation agroalimentaire est au premier rang des secteurs manufacturiers québécois avec un chiffre d’affaires de 35 milliards de dollars (Conseil de la transformation alimentaire du Québec) et 75 000 emplois directs. Selon le Diagnostic sectoriel de l’industrie de la transformation alimentaire du Québec publié en 2021 par CSMOTA (à consulter ici), 24 % de la fabrication est concentrée en Montérégie. La région de Saint-Hyacinthe est d’ailleurs reconnue comme capitale québécoise de l’agroalimentaire. L’ampleur de sa production a favorisé l’émergence d’une imposante industrie de la transformation soutenue par un centre de recherche et de transfert technologique, une technopole et des établissements d’enseignement supérieur.

 

 

L’Internet des objets et l’IA : un monde de possibilités pour l’industrie agroalimentaire est une initiative de l’Académie d’excellence entrepreneuriale du Cégep de Saint-Hyacinthe qui a pour objectif d’abolir les tabous face à l’ldO et à l’IA de manière plus générale et de démystifier son potentiel en matière de stratégie commerciale. Les activités réalisées de 2022 à 2024 visaient à stimuler la réflexion et à encourager le développement des connaissances relatives au potentiel et aux applications concrètes de l’ldO et de l’IA.

 

Les outils offerts ici ont été élaborés par les experts Nesrine Zemirli, fondatrice et directrice générale de SCIIĜO et René Breyel, directeur général de Claridion dans le souci d’aider concrètement les entreprises à déployer leurs activités dans une recherche de plus grande efficience. Ils permettront aux équipes d’amorcer la discussion et de mieux connaître le potentiel de l’IdO et de l’IA ainsi que les ressources à leur disposition.

 

 

 

 

 

 

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